Aéroports français : quels sont les bons et les mauvais élèves ?
Dans l’Hexagone, Brest est l’aéroport le plus touché par des annulations avec 1,8% des vols annulés. Marseille fait également partie des aéroports les plus affectés par des annulations avec 1,6% de ses vols prévus annulés. Bordeaux et Lyon sont aussi concernés avec respectivement 1,5% et 1,4% d’annulations. Pour comparaison, l’ensemble des aéroports français qui opèrent plus de 5 000 vols commerciaux par an n’enregistrent que 1,26% d’annulations en moyenne.
Globalement, ce sont les deux aéroports parisiens qui enregistrent le plus de retards avec 3,9% de vols retardés pour Paris-Orly et 3,5% pour Roissy-CDG. En revanche, retards et annulations confondus, c’est Chambéry qui se voit attribuer le bonnet d’âne avec 19,30% des vols retardés ou annulés soit près d’un départ sur cinq !
Les aéroports corses, premiers de la classe
Parmi les bons élèves, la Corse s’illustre particulièrement puisque Bastia est l’aéroport le moins affecté avec seulement 0,2% de ses vols retardés et 0,3% de vols annulés. Ajaccio se positionne juste derrière (0,4% de vols retardés et 0,3% de vols annulés).
Flightright s’est aussi penché sur les aéroports européens opérant plus de 50 000 vols par an. Résultat, Londres-Stansted, Dublin et Rome-Fiumicino sont les moins affectés par des retards ou des annulations de vols, suivis par Madrid Barajas et Londres-Luton.
A l’inverse, Munich, Lyon et Paris-Orly font figure de mauvais élèves, suivis de Bruxelles et Francfort. En conclusion, les aéroports français peuvent mieux faire !
source : http://www.tourhebdo.com/actualites/detail/99903/aeroports-francais-quels-sont-les-bons-et-les-mauvais-eleves-.html